photo Au pied du Fujiyama, etc.

Au pied du Fujiyama, etc.

Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 08/07/2021

Au pied du Fujiyama, etc. creuse au plus profond de nos passés pour bousculer notre présent et échafauder nos vies futures en déambulant sur nos territoires intimes et sociaux. Voilà des gens, des couples, des silhouettes s’adossant à un paysage sensible qui interroge la mémoire, le lieu, l’histoire, le choix. Ils ont élu domicile Au pied du Fujiyama, montagne symbolique de notre ancrage dans un temps et un espace donné. Cette adaptation du texte de Jean Cagnard (Editions Espaces 34) porté par un duo de comédiens de générations différentes, nous embarque dans un univers onirique, aussi grave que loufoque, où la poésie du monde ravive nos âmes d’enfants. La plume caustique de Gilles Verdet et l’esprit malicieux de Georges Pérec (Espèces d’espaces), graviteront autour du texte de Jean Cagnard pour observer et interroger nos vies urbaines, à l’ombre des arbres du PNU de Strasbourg.

photo “Ma vie avec la comtesse de Ségur”, Caroline Eliacheff et Claire Tran

“Ma vie avec la comtesse de Ségur”, Caroline Eliacheff et Claire Tran

Manifestation culturelle

Strasbourg 67076

Le 12/09/2021

Dès son plus jeune âge, passionnée par les romans de la comtesse de Se´gur, Caroline Eliacheff a mesure´ a` quel point cette lecture a nourri sa pratique de psychanalyste. En retrac¸ant les jeunes anne´es de Sophie Rostopchine a` la cour de l’impe´ratrice Catherine II, a` l’ombre d’une me`re tyrannique et violente et la fac¸on dont la comtesse s’est impose´e comme une auteure a` succe`s, elle de´crit le parcours d’une pionnie`re. Une romancie`re dont l’œuvre offre un e´clairage unique sur les conse´quences de l'e´ducation sur le comportement. Une femme engage´e, prompte a` de´fendre la cause des enfants a` une e´poque ou` les cha^timents corporels e´taient si re´pandus.Cette œuvre fait e´cho a` la vie de Caroline Eliacheff. A` titre professionnel, d’abord, puisque a` travers l’e´vocation des “Petites Filles mode`les”, “d’Un bon petit diable” ou du “Ge´ne´ral Dourakine", elle se reme´more certains patients rec¸us en consultation et livre une se´rie de re´flexions sur l’e´ducation. A` titre personnel ensuite, puisque la fille de la journaliste Franc¸oise Giroud, sous la forme d’une se´rie de “Je me souviens” a` la Perec, entreme^le a` l’histoire de la comtesse des e´le´ments[...]

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